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No impact et simplicité volontaire: vraiment si simple?
23 février 2011

composter-des ordures à l'or noir

En parlant de déchets,grand sujet de méditation que nos poubelles. Si on juge une civilisation à ses déchets, nous sommes mal partis.J'ai parié sur le composteur; aimablement prêté par la mairie. Prudemment,en commençant par des déchets de jardin: compost impeccable en 6 mois, pas de problème.On passe aux restes de table; à l'évidence c'est plus long, et le redémarrage après l'hiver est délicat.Pour ne pas renouveler une situation scabreuse,je couvre de feullles mortes en automne ce que contient le composteur et laisse tout celà travailler seul; je remplis l'hiver mon composteur vide,le volume se réduit au fur et à mesure en se desséchant un peu, et au printemps c'est la montée en chaleur, l'aspect "vivant". A l'automne le compost n'est pas mal non plus, tant dans le tas tranquille sous ses feuilles que dans le composteur.

A quoi ça sert?Déjà à moins avoir de poubelles puantes, car moins de matières organiques en décomposition. Moins de poubelles tout court, ce n'est plus un drame si on oublie de les sortir plusieurs fois de suite. Bien apprécié pendant la grève des éboueurs..
Le changement de point de vue, surtout, une épluchure ou un reste de table n'est plus "une affreuse ordure destinée à puer",mais un élément organique, donc vivant, qui reprend sa place dans un cycle de vie. Plus sympa.

D'accord, en appartement,il faut être plus motivé, mais le lombricompostage est possible...

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